Santé

Monsanto et Vaccin : Bill Gates noyaute l’OMS et achète le silence de GAVI, pour imposer son agenda en Afrique

Les chiffres et leur analyse expliquent mieux certains faits. En ce qui concerne l’OMS, les données chiffrées portant sur son budget, donnent l’occasion de comparer la contribution des Etats membres à celle des donateurs non-gouvernementaux. De comprendre pourquoi Bill et Melinda Gates, et l’industrie pharmaceutique la financent. De percevoir les raisons qui amènent cette organisation à se compromettre avec les donateurs privés.

Pour ces questions, il est possible de dire Vive le COVID-19! Ce hourra n’est pas un vivat au virus pour ses victimes. Ce bravo est adressé à cette ‘pandémie’ pour le fait qu’elle permet de se pencher sur certaines statistiques qui trahissent l’industrie pharmaceutique et Bill et Melinda Foundation. Et surtout, expose leur dessein diabolique vis-à-vis de l’Afrique.

Chiffres qui dévoilent le plan criminel de Gates

Le point de situation du Samedi 23 Mai 2020 était de 5 298 207 (+215 546 en 48h) cas déclarés. 339 425 (+10 131 en 48 h) décès [4 934 décès du Covid-19 déclarés le 21 Mai, 5 252 décès le 22 Mai]. 2 156 382 guérisons (+136 231 en 48 h). 2 802 491 patients en cours de traitement (+69 290 en 48 h), dont 44 583 en état critique (-1 220 en 48 h). Sur les 339 425 décès enregistrés dans le monde depuis le début de l’épidémie, 322 484 (95%) l’ont été dans 25 pays (USA, Royaume Uni, Italie, France, Espagne, Brésil, Belgique, Allemagne, Iran, Pays Bas, Canada, Chine, Mexique, Turquie, Suède, Inde, Russie, Équateur, Pérou, Suisse, Irlande, Portugal, Roumanie, Indonésie, Pakistan). 2 861 (54,5%) des 5 252 décès déclarés le 22 Mai sont encore des Etats Unis, de l’Union Européenne, et de l’OTAN.

Ces statistiques dressées par le Général Américain Dominique Delawarde, Ancien chef de ‘Situation-Renseignement-Guerre électronique’ à l’Etat-major Interarmées de planification opérationnelle, sont très explicites. Elles apportent un éclairage aussi bien sur les ravages de ce virus que sur les pays touchés. Pas une seule nation Africaine parmi les 95% des pays les plus affectés par le COVID-19. Pourtant, c’est sur ce Continent que Bill ‘oblige’ l’OMS à vacciner la population.

L’OMS, dans les griffes de l’industrie pharmaceutique

Pour comprendre cette curiosité de santé publique, il faudrait lorgner dans le lourd chéquier de Bill. Cet instrument d’influence qu’il utiliserait pour soumettre la presse et manipuler certaines institutions comme l’OMS. A tel point que l’une des missions de l’OMS qui consiste à ‘coopérer avec les gouvernements et d’autres partenaires pour mettre en œuvre des stratégies et plans nationaux de santé’ est appliquée selon la vision de Gates. Cette mise sous-tutelle par Gates et l’industrie pharmaceutique, de l’OMS lui a fait perdre son indépendance d’action et son autonomie financière. Pourtant, les Etats membres de cette institution

constitutionnellement créée le 7 Avril 1948, devrait être à mesure de la financer entièrement ou à la majorité des parts. Ce qui n’est pas le cas.

L’apport financier dans les années 1970 était de 80% pour les Etats membres de l’OMS et de 20% pour les donateurs privés. Mais cette tendance s’est renversée dans les années 1980. C’est ainsi que dès la fin des années 1990 et sur à peu près une dizaine d’années, plus de US $2 milliards avaient été versés à cette organisation par Bill Gates. Pour 2010-2011, le budget programme approuvé par l’OMS de US $4,5 milliards de dollars, avait été financé à hauteur de US $944 millions (20%) par les Etats membres, alors que US $3600 millions (80%) avaient été mis dans la cagnotte par les contributeurs privés. Pour les années 2016 et 2017, le budget de l’OMS s’élevait à US $4,4 milliards de dollars. Seulement US $880 millions constituaient l’apport sous forme de cotisations des 193 Etats membres. Cette organisation est tellement arrosée de sous privés que Michael Day dans un article publié en 2007 dans BMJ, s’interrogeait sur la légitimité des US $10 000 donnés à l’OMS par Glaxo.

Cette tendance ne s’est pas infléchie. Le versement des quotes-parts fixées et flexibles des Etats membres est parfois incertain (en 1993, l’Italie n’a pas payé sa cotisation). Par contre, les contributions volontaires provenant des Etats membres et des bailleurs de fonds non-gouvernementaux privés—fondations, banques d’investissement, multinationales, et Organisations Non-Gouvernementales—prennent du volume.

Experts inutiles de l’OMS

Ainsi dominée par les apports extérieurs, sa marge de manœuvre est limitée. Elle ne peut décider de sa stratégie et de son exécution. Ni planifier ce qu’elle veut faire avec ‘ses’ ressources. Puisque ‘ces contributions volontaires sont malheureusement «déterminées» et ne peuvent être dépensées que pour des choses spécifiques décidées par les donateurs.’ Enonce Andrew Harmer.’ Point de vue renforcé par Michael Day qui écrit. ‘Probablement vous pensez que l’OMS étant une organisation regroupant 194 Etats, son financement serait entièrement assuré par ceux-ci et que les ressources sont utilisées selon les besoins et les priorités de l’organisation, détrompez-vous.’ Pourtant, annonce Harmer, ‘l’OMS dispose de nombreux experts en santé, a un plan stratégique, connaît les priorités mondiales en matière de santé.’ qui pourraient faire mieux si cette institution n’avait pas vendu son âme à l’industrie pharmaceutique.

C’est de là que provient la conception de la ‘nouvelle’ Afrique, version Bill Gates. Un champ d’expérimentation pour la souillure des laboratoires pharmaceutiques. Dans cette optique, il a initié GAVI. ‘Une alliance entre le public et le privé qui a pour but de vacciner les enfants des pays en développement.’ Dans ce programme auquel prennent part l’OMS, UNICEF, Bill et Melinda Gates Foundation, et l’industrie pharmaceutique, il a injecté US $750 millions en 1999.

Institution éloignée des problèmes de santé publique majeurs

Bill ne semble pas lésiner sur les moyens pour atteindre son objectif d’une campagne Africaine, voire mondiale de vaccination. Pour ce rêve mortifère, en plus de corrompre l’OMS financièrement, il a noyauté le cœur de cette institution—L’enquête d’Arte intitulée ‘L’OMS: dans les griffes des lobbyistes’ du 4 Avril 2017 le dit. Elle affirmait que des employés de l’OMS dont un haut dignitaire de cette organisation, figuraient sur la liste Bill and Melinda Foundation. Une pratique en contradiction avec ‘les déclarations de conflits d’intérêts que doivent remplir les fonctionnaires à un certain niveau hiérarchique.’ Le non-respect de cette ‘clause’ par l’OMS dû à son incapacité de s’autofinancer, l’aurait ‘éloignée des problèmes de santé publique majeurs.’ Regrettait le Pr. Didier Raoult dans une chronique à ‘International Journal of Antimicrobial Agents,’ du 16 Janvier 2017.

En s’éloignant de ses missions au service de la santé publique, l’OMS travaille conformément aux intérêts de l’industrie pharmaceutique. A ce propos, Andrew Harmer écrivait que l’on ne peut pas ‘lui faire confiance pour faire ce qu’elle pense le mieux avec ses dons.’ Puisque ses ressources ne sont pas utilisées selon ses besoins et ses priorités.

Dans cet ordre d’idées, Margaret Chan, ex-Directrice générale de l’OMS au Conseil exécutif du 6 Décembre 2012, déclarait. ‘Les pratiques financières actuelles font de l’OMS une organisation fondée sur les ressources et non sur les résultats.’ Elle explicita ses propos en quelques mots. ‘L’argent dicte ce qui est accompli.’ Dans ces conditions, ‘comment est-il possible pour l’OMS de prendre une décision transparente et autonome quand un groupe pharmaceutique lui aurait donné pour 30 milliards de dollars de médicaments?’ S’interrogea Arte.

La mesure de ces déclarations et interrogations indique que les dons de Bill et de l’industrie pharmaceutique à GAVI et l’OMS sont un investissement. Un placement pour atteindre ‘l’un de leurs principaux objectifs qui est de fournir le plus de vaccins possibles à travers le monde.’ Mais aussi pour imposer Monsanto.

Molécule de Monsanto et médicament tueurs, certifiés de l’OMS

En 1994 Monsanto essaye de mettre sur pied des sojas modifiés contenant le glyphosate. Une molécule présente dans l’herbicide Roundup de Monsanto. L’OMS déclare le glyphosate sans danger pour les consommateurs. Pourtant ses victimes se comptaient déjà. En 2009, les consignes de l’OMS par rapport à la grippe A (H1N1) enrichissent l’industrie pharmaceutique et lui font empocher des millions d’Euros. Pourtant des chercheurs jugeaient sans effets les médicaments préconisés. L’OMS se fait aussi complice des firmes pharmaceutiques dans le traitement contre la tuberculose. Elle aurait introduit dans la liste de prescription un médicament dangereux, malgré le fait que ‘les tests relevaient un taux de morts plus élevé dans les groupes traités.’ Qui paye la facture en termes de coûts humains? L’Afrique. En termes de pillage? Encore l’Afrique.

Qui imaginerait le Conseil de sécurité financer par l’industrie de l’armement?

Ces actes qui violent l’éthique et les droits humains, ne pouvaient en être autrement. Car, ‘croire que l’industrie pharmaceutique lutte contre les maladies, c’est croire que les fabricants d’armes luttent pour la paix.’ A dit Paulo Amaro. Dans le même registre, Corinne Lepage, ancienne Ministre de l’Environnement de Jacques Chirac et présidente du rassemblement citoyen CAP21 a posé une question essentielle. ‘Qui imaginerait le Conseil de sécurité financer par l’industrie de l’armement?’ Et ne pas encourager les guerre?

‘Pourtant,’ a-t-elle argumenté, ‘de grands laboratoires pharmaceutiques contribuent au financement de l’OMS. De même, son principal donateur, la fondation Bill et Melinda Gates, dont on ne peut nier les activités caritatives, constitue par ailleurs l’un des plus grands promoteurs des OGM dans le monde.’

Oka daju

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